LA PLAGE (2)

A 20m de nous, un bar avait organisé une démo de samba avec pas mal de gens qui s’étaientt atroupés (dont moi) pour voir ça ! Plutôt cool !En me balladant, j’ai pu aussi voir que chaque pti bar avait sa spécificité, comme un qui passait de la techno avec quelques jap’ qui s’adonnent à cette danse triviale à l’intérieur. C’était pas mal, mais c’est pas encore Ibiza !
Il y en avait aussi un avec un spectacle de kapouera et autre trucs venus d’ailleurs… comme une sorte de danse avec des batons en bois… Au début c’est chelou, mais après 2 ou 3 minutes on se prend au rythme et c’est bien sympa !
Le soir, on a mangé dans une sorte de restaurant burger hawaien ! Avec des burgers à l’avocat… c’était excellent !Puis nous sommes revenus sur Yokohama (à mi chemin entre Tokyo et le plage) pour se trouver un pti Isakaya ou un pti bar… et on a fini dans une franchise américaine, vu que tous les Isakaya demandaient au moins une demi heure d’attente. Là je me suis pris le « sundae » de ma vie, un truc énorme et trop trop bon !

ce que j’aime bien, c’est voir le toit d’une maison style traditionnel planqué au milieu des immeubles !
Puis Bé-chan et moi sommes revenus sur Tokyo avec le dernier train, et vu qu’il n’y en avait plus qui partait dans mon bled, Bérénice m’a dit de squatter chez elle… qui n’est d’ailleurs pas chez elle, puisque elle même squatte chez une fille qui est parti pour plusieurs semaines à l’étranger. Et ce pour la simple et bonne raison que la vraie chambre de Bérénice est squattée par le copain de sa colloc’ pour encore 3 semaines !!! lol ! La vraie chaises tournantes quoi !On a trotté une petite demi heure dans le quartier de Shibuya jusqu’à chez elle en croisant à l’occasion un mec bien zappé fashion et bien propre sur lui, mais affalé comme un clodo en train de dormir devant l’entrée d’un magasin fermé… Ca, c’est le problème du Japonais qui en une demi bière a déjà 4g d’alcool dans le sang ! Et sachant qu’un japonais peut s’endormir n’importe où en 15 secondes chrono, bah ça donne des loques le samedi soir à chaque coin de rue (bon, j’exagère un peu..). Vu qu’à Tokyo le gars pourrait laisser son téléphone portable devant lui sans se le faire tirer, ça pose pas un gros problème. Il se réveillera intact et rentrera tranquillement chez lui.